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L’interdiction de commercialiser des véhicules neufs à moteur thermique (hybrides compris) en 2035 dans l’Union européenne constitue une révolution pour les constructeurs du Vieux Continent et pour les marques comme FORD.
Véritable défi industriel, les voitures électriques remplacent donc progressivement les modèles thermiques sur le marché de l’automobile.
Afin de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, les constructeurs de voitures adaptent aujourd’hui leurs processus de production et investissent des sommes considérables pour se passer en dix ans du moteur à essence inventé en 1886 par Carl Benz.
Alors que les voitures particulières sont responsables de près des deux tiers des émissions de CO2 du secteur des transports, la course à l’électrique s’intensifie chez FORD.
Du garagiste au fabricant d’acier en passant par les concepteurs de moteurs thermiques, c’est même la filière automobile dans son ensemble qui est concernée par ce virage technologique.
La sophistication des voitures électriques FORD et de ses nombreux composants favorise entre autres l’essor du marché des batteries lithium-ion dans le monde (technologie qui a vu le jour à la fin du XXe siècle).
Exprimée en kWh, la capacité d’une batterie détermine en particulier l’autonomie d’un modèle de voiture FORD zéro émission et par conséquent sa fréquence de recharge (par le biais d’une borne de recharge à domicile Wallbox ou de bornes de recharge publiques).
À l’heure où les prix de l’énergie flambent, de plus en plus d’entreprises spécialisées dans leur fabrication voient ainsi le jour en Europe et la demande croissante leur offre une opportunité de développement exponentielle.
En accélérant l’électrification de leurs modèles, les groupes automobiles européens (Stellantis, Renault, Volkswagen, BMW) anticipent l’interdiction de vente des voitures thermiques neuves.
À l’horizon 2035, chaque marque (Peugeot, Renault, Citroën, DS, Seat, Cupra, Volkswagen, BMW, Mercedes, Audi, Opel, Fiat, Mini, Skoda, Dacia, Volvo, Land Rover, Rolls-Royce...) sera en effet dans l’obligation de proposer un catalogue intégralement constitué de modèles électriques.
De l’entrée de gamme au haut de gamme, les voitures électriques FORD disponibles sur le marché de l’auto sont déjà représentées chez les concessionnaires à travers les différents types de carrosserie.
Ces derniers comprennent notamment la citadine (micro-citadine, mini-citadine et citadine polyvalente), la berline (berline citadine et berline compacte), le break (familial et commercial), le monospace (classique, compact, minispace et ludospace), le crossover (urbain, compact, familial et grand SUV) ainsi que l’utilitaire (fourgonnette, fourgon moyen, grand fourgon, camion-benne, poids lourd).
Dans la continuité d’une voiture hybride FORD (hybride classique et hybride rechargeable) qui rejette dans l’atmosphère moins de gaz à effet de serre que les modèles thermiques, un véhicule électrique FORD contribue à une mobilité zéro émission.
Déjà mises en place dans 11 métropoles (Grand Paris, Lyon, Aix-Marseille, Toulouse, Nice, Montpellier, Strasbourg, Grenoble, Rouen, Reims et Saint-Étienne), les ZFE-m (zones à faibles émissions mobilité) vont s’étendre à 43 autres agglomérations en France d’ici 2025.
Leur développement allié à l'instauration des vignettes Crit’Air (niveau de pollution des véhicules) participe activement à la démocratisation de la voiture électrique FORD. Un type de mobilité qui pèse à l’heure actuelle 16% du marché automobile français.
